Il y a un an. Il y a un an, je marchais dans les rues de Madrid. Il y a un an, je marchais dans les rues de Madrid, à la recherche d'une jolie robe. Il y a un an, je marchais dans les rues de Madrid, à la recherche d'une jolie robe pour te plaire. Il y a un an, j'ai acheté une jolie petite robe bleue pour te plaire. Il y a un an, j'ai déchiré ma jolie petite robe bleue par mégarde, avant même de l'avoir revêtue. Il y a un an à Madrid, j'ai fondu en larmes dans ma chambre d'hôtel.
ThePriceOfLove
Like electric sparks in my heart.
Lundi 14 mai 2012 à 23:46
"- Again, you're saying it wrong. It's Laure.
- Larrr!
- No, Laure!
- Luaur!
- Laure!
- Lurr. Loeur. Lueur. Leur. Leur. Leu'. Leu'. Leu'. Leu'!
- You're a lost cause.
- I'm a lost cause.
- Or as we would say in France; une cause perdue.
- Une keusse pedue. Keusse pedue! "
- Larrr!
- No, Laure!
- Luaur!
- Laure!
- Lurr. Loeur. Lueur. Leur. Leur. Leu'. Leu'. Leu'. Leu'!
- You're a lost cause.
- I'm a lost cause.
- Or as we would say in France; une cause perdue.
- Une keusse pedue. Keusse pedue! "
Jeudi 26 avril 2012 à 22:37
Faut que j'arrête de rêver. Je n
'ai plus 19 ans.
Mercredi 18 avril 2012 à 14:35
" - J'ai essayé de lui expliquer ce que cette chanson me faisait ressentir, mais en Anglais, les mots ne venaient pas. Alors il m'a demandé de le décrire en français. J'ai énuméré quelques adjectifs, et j'ai senti qu'il m'écoutait vraiment. Il plissait ses yeux, mécanisme instinctif lorsque l'on se concentre, et que l'on tente de comprendre, et il a répété chaque mot après moi, comme pour mieux les absorber.
- C'est juste tellement bon lorsqu'un étranger nous complimente dans sa propre langue. On ne peut pas se sentir gêné, parce qu'on ne comprend pas. On ne peut qu'écouter, mais on sent que c'est fort. C'est au dessus de tout. "
- C'est juste tellement bon lorsqu'un étranger nous complimente dans sa propre langue. On ne peut pas se sentir gêné, parce qu'on ne comprend pas. On ne peut qu'écouter, mais on sent que c'est fort. C'est au dessus de tout. "
Mercredi 18 avril 2012 à 14:19
11 avril 2012; Il devait bien être trois heures du matin. J'avais officiellement vingt-quatre ans depuis quelques heures. Une soirée bien arrosée avec quelques collègues et amis avaient eu raison de moi, et c'est sans cérémonie que, sur un siège du bus de nuit en direction de Saint-Lazare, je me suis blottie contre elle, épuisée, mon visage s'affaissant lourdement sur son épaule. Soucieuse de mon état post-tequila, elle refusait de me laisser rentrer seule. Elle a même fini par me proposer de rester dormir chez elle; ça la rassurait. Tout le long du trajet elle a maintenu mon bras avec douceur, le caressant tendrement du bout des doigts. L'alcool perdait peu à peu son emprise sur moi, et, gardant mes paupières closes, j'ai souri.