ThePriceOfLove

Like electric sparks in my heart.

Mardi 17 janvier 2012 à 18:04

"You won't win..."

Certes, tu m'as dit ça sur le coup de la colère. N'empêche que je n'arrive toujours pas à me retirer ces mots de la tête. "Tu ne gagneras pas..." Et que vais-je perdre à la fin, tu vas me le dire?! Tu me fatigues à faire la girouette. Tu partages mon assiette, trempe tes lèvres dans mon verre, tu te fous à moitié à poil devant moi et m'invite dans ta piaule au bout de la quatrième fois seulement, mais après plus d'un an, tu me retires ta confiance, tu me bloques tes photos facebook?!  Oh oui je sais, ce n'est que facebook, c'est rien, blablabla. N'empêche que c'est significatif. Je m'en tamponne le coquillard de tes photos, à la limite. Ce qui me rend dingue, c'est le geste.  Le putain de principe. Après tout ce temps, toutes ces fois où tu as pu te rendre compte par toi-même que tu pouvais me faire confiance, Tu me discrédites, tu me traites comme si je n'étais qu'une vulgaire inconnue. Mais bordel, m'as-tu déjà vue colporter de tes informations personnelles? Je voudrais savoir pour qui tu m'as prise, sérieusement! Et Je t'aime putain. Je te hais. Je ne peux plus continuer ainsi, je ne peux plus. Ca fait dix-huit jours que je ne t'ai pas dit un seul mot. Dix-huit jours que je ferme ma gueule, alors qu'il y a tant de choses à dire.
Je ne gagnerai pas... Non ça, je ne gagnerai pas! Je ne gagnerai pas ton coeur, ni rien, jamais. Je suis au courant, je suis au courant! Je voudrais juste que tu la fermes quand tu me présente aux gens comme ton amie, alors qu'en réalité je ne suis même pas ça, je ne suis rien. Et puis pourquoi tu me gardes dans tes contacts, si je ne représentes rien à tes yeux? C'est de la charité? Vire-moi donc, plutôt que de t'encombrer. Vire-moi donc. Vire-moi et qu'on en parle plus! Ton petit manège me vide de toutes forces.

Tu vois, je te destitue de tes droits moi aussi. Tu me retires ta confiance, je te retire la mienne. Y a pas marqué "bonne poire" sur mon front.

Mercredi 11 janvier 2012 à 15:30

Presque deux semaines que l'on ne s'est pas adressé la parole. Cette dispute ne nous a pas fait du bien. Pourtant, tu es bien là. Tu es présent, tous les jours. Tu n'as pas coupé les ponts, alors que tu aurais pu. A un certain niveau, tu n'as pas envie de me perdre. C'est étrange. Je n'y comprends rien, tu sais. Je ne suis rien pourtant. Non, je ne suis rien. Tu as n'as pas besoin de moi.
Et tu me tapes sur le système. Mais, merci. Oh et puis, je t'aime.


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Lundi 9 janvier 2012 à 21:07

Et se rappeler du temps où ils me faisaient sourire bêtement.

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