ThePriceOfLove
Like electric sparks in my heart.
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Like electric sparks in my heart.
Sur le web
Lundi 15 août 2011 à 18:14
Tu as six ans de moins que moi. Et pourtant, c'est toi qui me prends par la main, comme on prendrait celle d'une petite fille effrayée. Tu me fous dans une cabine d'essayage. Tu restes près de moi, tu attends patiemment. Tu me rassures, tu murmures des mots encourageants derrière le rideau. Et je sors de cette cabine, sans la moindre larme. le noeud habituel dans ma gorge n'est aujourd'hui qu'une poussière que je balaie d'un simple raclement. Aujourd'hui, dans un magasin de fringues, je ne chiale pas. Tu me conseilles, tu m'aides. Tu ne trouves pas ça idiot toi, que je veuilles être jolie pour Lui. Tu es un peu ma propre marraine la bonne fée. Peut-être bien que tu pourrais faire de moi une princesse prête pour le grand bal, qui sait. Peut-être bien.
Virgin megastore, Champs Elysées. Tu me mets d'office le casque sur les oreilles. Adele. Tu actives la onzième chanson de l'album. Someone Like You. Et tu t'éloignes. Bon sang. J'ai les yeux humides. Et pas seulement à cause de la merveilleuse chanson que tu m'as fourrée dans les oreilles. Non. Je suis juste une fille ridiculement sensible, contente d'être là où elle se trouve. Contente que tu sois là.
Alors je te regarde, écouter ta propre musique, et je te prends en photo.
Virgin megastore, Champs Elysées. Tu me mets d'office le casque sur les oreilles. Adele. Tu actives la onzième chanson de l'album. Someone Like You. Et tu t'éloignes. Bon sang. J'ai les yeux humides. Et pas seulement à cause de la merveilleuse chanson que tu m'as fourrée dans les oreilles. Non. Je suis juste une fille ridiculement sensible, contente d'être là où elle se trouve. Contente que tu sois là.
Alors je te regarde, écouter ta propre musique, et je te prends en photo.
Jeudi 11 août 2011 à 2:13
Je ne t'ai pas encore vu assez, pour t'aimer à en crever. Mes sentiments s'étiolent déjà, mais je ne veux pas. Tu sais, quoi? je veux être bouffée, ravagée, dévorée par l'amour. Donne-moi encore la tremblote, les joues écarlates, les fourmis dans les mains, et le grand sourire niais. Vite, donne-moi encore un câlin à la Madrid.
Vendredi 5 août 2011 à 13:40
En attendant que j'écrive la suite surréaliste de ce qu'il s'est passé à Argelès... Un petit "avant-goût".