Il y a eu ce moment après le concert, alors qu'il était complètement pompette. Il m'a attrapée sans crier gare, et m'a serrée contre lui, me faisant danser un mélange de slow et de valse. En chantant "Laurie I love you" au creux de mon oreille. Il m'enlaçait si étroitement qu'il pressait mon visage contre son cou, m'étourdissant dans les effluves fraîches et boisées de sa peau. Il venait juste de transpirer sur scène, et pourtant, il sentait extrêmement bon.; tant de perfection me rendait dingue. Dangereux, comme le chant des sirènes. Refusant de perdre la raison, j'ai tenté de me libérer de son étreinte, lui disant d'un ton faussement détaché qu'il devrait arrêter l'alcool. Mais il ne m'a pas lâchée. Alors, j'ai arrêté de lutter. Je me suis abandonné à ses bras, fermant les yeux. J'ai respiré son odeur de toute mes forces, souriant pour moi-même. Je l'ai laissé me bercer avec sa chanson idiote. Avec ces putains de mots dont il ignorait l'impact.
ThePriceOfLove
Like electric sparks in my heart.
Commentaires
Par Le.souvenir.d.une.etoile le Samedi 5 novembre 2011 à 9:23
hébé ^^ alalala
Par Samedi 5 novembre 2011 à 9:23
le (oui pas tr_s constructif ce que je dis :o)
Par Jeudi 7 juillet 2016 à 4:08
le Avec ces putains de mots dont il ignorait l'impact.
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